Nous venons de prendre connaissance de cet encart sur le thème « l’automobile ». Avec régal nous vous en transmettons le plus notable plus bas.
Le titre saisissant (Toyota, Ferrari et Cadillac à la lutte aux 24 Heures du Mans) est évocateur.
Présenté sous la signature «d’anonymat
», le rédacteur est positivement connu.
Cet éditorial peut ainsi être pris au sérieux.
Le Mans (AFP) – Toyota et Ferrari étaient lancées dans un mano a mano en tête de l’édition du centenaire des 24 Heures du Mans dimanche à l’aube, mais en ayant perdu chacune une voiture et avec Cadillac en embuscade.
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Un siècle après la première édition sur des chemins boueux en 1923, le suspense était de retour au Mans après cinq ans d’hégémonie de Toyota.
Cette année, la marque japonaise restait favorite mais le retour de la concurrence de constructeurs historiques a offert une course palpitante aux spectateurs massés dans les tribunes, avec de nombreux changements de leader au rythme des arrêts aux stands, des dépassements téméraires et des avaries.
Sans oublier les averses qui ont transformé une partie du circuit en patinoire samedi en fin d’après-midi, bousculant la stratégie de nombreuses équipes.
En fin de nuit, la Toyota N.8, victorieuse l’an dernier, était en tête dans la catégorie reine des Hypercars, mais avec seulement quelques secondes d’avance sur la Ferrari N.51 et moins d’une minute sur la Cadillac N.2.
Trois autres candidates au podium ont en revanche dû céder dans la nuit: la Toyota N.7, victorieuse en 2021, a abandonné, victime d’un accident ayant impliqué trois autres voitures juste après minuit. Ces cinq dernières années, les deux Toyota avaient toujours terminé la course.
La Ferrari N.50, partie en pole position pour le retour de la Scuderia au Mans après 50 ans d’absence, a pris six tours de retard vers 2H00 (00H00 GMT) à cause d’un problème mécanique qui a nécessité une demi-heure de réparations.
Espoirs déçus pour Peugeot
Même déception pour la Peugeot N.94, aux avant-postes pendant une bonne partie de la course après des essais mitigés toute la semaine, qui a aussi nécessité de trop longues réparations après un tête-à-queue l’ayant projetée contre un mur de pneus.
Quant aux Porsche, elles ont été peu à peu distancées au cours de la soirée, mais les avaries et abandons qui ont frappé la tête de course ont permis à la Porsche N.6 de remonter à la quatrième place, avec cependant un tour de retard, devant la Cadillac N.3.
Depuis le départ donné samedi à 16H00, les cinq principaux constructeurs engagés en Hypercar se sont relayés en tête de la célèbre épreuve d’endurance.
La lutte était encore plus serrée dans la catégorie LMP2 (des prototypes plus standardisés et moins rapides), où quatre voitures se tenaient en moins de 50 secondes en fin de nuit.
En LMGTE Am (pilotées par des amateurs associés à des professionnels), la Porsche 911 de l’équipage 100% féminin des Iron Dames, écurie créée en 2019, était à la lutte pour la victoire, après avoir terminé 7e de cette catégorie l’an dernier.
Autour du circuit, la foule des spectateurs a reflué pendant la nuit, beaucoup partant dormir quelques heures même si certains sont restés pour ne rien perdre du ballet nocturne, ou pour tenter de trouver le sommeil dans les tribunes, malgré les rugissements des bolides.
Quelque 300.000 personnes étaient attendues, venues de la région comme du monde entier, pour profiter du retour des écuries Ferrari, Porsche, Cadillac et Peugeot, en attendant Alpine, BMW ou encore Lamborghini l’an prochain.
© 2023 AFP
Bibliographie :
À travers l’Inde en automobile/06,A voir et à lire. . Disponible sur internet.
L’automobile,A voir et à lire. .
Photographie/Éclairage/Lampes à arc,(la couverture) .
Tri sélectif des emballages ménagers,Clicker Ici .